Le FARA festival des arts de la rue d'ASSOUINDE se situe au sud est de la COTE D'IVOIRE
Région du sud COMOE à environ 95 kms d'ABIDJAN
Après une heure de route à travers les plantations de cocotiers le visiteur arrive à ASSINIE paradis de la COTE D'IVOIRE
ASSINIE est une station balnéaire de la COTE D'IVOIRE au bord du golf de GUINEE
C'est dans ce lieu magique que nous avons accueilli le FARA 1 ET FARA 2
LE SOIR UNE BALLADE AU BORD DE LA MER
L'EAU EST TELLEMENT DOUCE QU'IL FAUT EN PROFITER !
AU MILIEU DES COCOTIERS HERBERT ..... RESPIRE
N'EST-IL PAS AGRÉABLE DE TRAVAILLER SUR LA PLAGE DEVANT LA MER SOURCE D'INSPIRATIONS POUR BEAUCOUP D'ARTISTES
LE FARA3 vous attends dans ce magnifique décor pour tous , mais avant tout pour les artistes en création , ici vous serez inspiré
Loin des grands rochers noirs que baise la marée,
La mer calme, la mer au murmure endormeur,
Au large, tout là-bas, lente s’est retirée,
Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt.
La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage,
Au profond de son lit de nacre inviolé
Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage,
Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé.
La mer aime le ciel : c’est pour mieux lui redire,
À l’écart, en secret, son immense tourment,
Que la fauve amoureuse, au large se retire,
Dans son lit de corail, d’ambre et de diamant.
Et la brise n’apporte à la terre jalouse,
Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux :
L’âme des océans frémit comme une épouse
Sous le chaste baiser des impassibles cieux.
La mer calme, la mer au murmure endormeur,
Au large, tout là-bas, lente s’est retirée,
Et son sanglot d’amour dans l’air du soir se meurt.
La mer fauve, la mer vierge, la mer sauvage,
Au profond de son lit de nacre inviolé
Redescend, pour dormir, loin, bien loin du rivage,
Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé.
La mer aime le ciel : c’est pour mieux lui redire,
À l’écart, en secret, son immense tourment,
Que la fauve amoureuse, au large se retire,
Dans son lit de corail, d’ambre et de diamant.
Et la brise n’apporte à la terre jalouse,
Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux :
L’âme des océans frémit comme une épouse
Sous le chaste baiser des impassibles cieux.
Nérée Beauchemin (1850-1931






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